Astrid Valeria Graffin.
La mode se démode, le style jamais.
| crédit ♦ bardadoll. avatar ♦ Charlavail Efron. code ♦ Je m'auto-valide le code. nom ♦ Graffin. prénom(s) ♦ Astrid, Valeria. surnom(s) ♦ Pas besoin. date de naissance ♦ 13 mars 1994. métier ♦ Reporter dans un journal de mode. statut ♦ Populace. style vestimentaire ♦ niveau vestimentaire, Astrid a des goûts très précis. Chez elle, l'apparence compte beaucoup. Selon elle, les vêtements disent tout. C'est pour ça qu'elle ose tout. Du jaune, très flash ou moutarde, des collants noirs ou verts, des shorts avec des bottines en plein hiver, elle n'a pas peur des fautes de style. On peut tout mettre, du moment qu'on sait comment le porter. Son accessoire préféré ? Les écharpes et les foulards. Elle en a... beaucoup. De toutes les couleurs. De toutes les matières. Et sa veste noire. C'est son vêtement fétiche, et ne va jamais nulle part sans. taille ♦ 1m70. Parfait, même pas besoin de talons. corpulence ♦ Plutôt élancée, fine. yeux ♦ verts. cheveux ♦ blonds, lisses. Avec une frange. ce qu'il aime ♦ la musique ; se vernir les ongles ; s'asseoir quelque part et regarder les gens ; lire des magazines ; quand il pleut ; quand il fait froid ; les bonnets et les gants. ce qu'il n'aime pas ♦ attendre ; entendre les gens soupirer ; être en retard. orientation sexuelle ♦ Hétérosexuelle. tolérance ♦ Astrid est quelqu'un de très ouverte d'esprit et accepte les différences. Tolérante, elle l'est, sans aucun doute. Elle est aussi un peu féministe sur les bords, et n'hésite pas à défendre cette cause. tics ♦ sourire ; se toucher le dessus du nez ; jouer avec ses cheveux lorsqu'elle est gênée. couleur préférée ♦ jaune. animal préféré ♦ panthère. sport ♦ elle danse chez elle, dans sa chambre. Mais sinon, elle ne fait pas de sport. musique ♦ Du rock principalement. Elle est fan de Rise Against. Elle adore aussi Oasis, Def Leppard, Genesis (pour se trémousser c'est cool), Queen et Police. Elle est pas très branchée sur les trucs à la mode qui font BOUMBOUMBOUM. Si vous voyez ce que je veux dire. films ♦ Le Cercle des Poètes disparus ; Le Voyage de Chihiro. livres ♦ Les Fleurs du Mal sont les seuls poèmes qu'elle supporte. Elle aime beaucoup la sage Narnia, où les romans qui allient meutres et mode. Ou alors, tout simplement des catalogues de marques, des journaux people. Des trucs de modes. dans sa poche ♦ ses clefs. Il n'y a jamais personne chez elle. Pas envie de finir dehors. Un mouchoir. Un bout de papier. Pour pouvoir écrire. Et un petit crayon. Du style de ceux qu'on trouve chez Ikea. Un petit truc à grignoter, genre bonbon ou sucette. scolarité ♦ Astrid n'est pas quelqu'un de brillant. Elle comprend, a des notes correctes, sans pour autant vouloir se montrer excellente. Souvent reprise pour bavardage, elle tourne autour de quatorze ou quinze. Pas abonnées aux heures de colle, cela ne l'empêche pas d'avoir quelques mots pour discipline. truc en plus ? ♦ elle parle très vite. SI on a pas l'habitude, on ne comprend rien à ce qu'elle raconte. x) |
Caractère
Tout oiseau aime à s'entendre chanter
Sympathique ♦ Bavarde ♦ Digne de confiance ♦ Drôle ♦ Pointilleuse ♦ Ponctuelle ♦ Autonome ♦ Joyeuse ♦ Trop minutieuse ♦ Impatiente ♦ Curieuse.
Astrid, quand on la rencontre et qu'on lui parle, on se souvient d'elle comme une jeune fille pleine de vie. Parfois même trop. Elle a beaucoup de choses à dire. Et le dit toujours avec énormément d'enthousiasme. Elle parle, elle parle, elle parle... La miss est souvent au courant des rumeurs. C'est pourquoi quand on a le courage et la patience de l'écouter, elle peut vous apprendre pas mal de chose. Ce n'est pas une fille spécialement populaire, mais elle connaît pas mal de monde. Des gens qu'elle entend parler par-ci par-là. Attention, il faut faire la différence entre les potins et les rumeurs, et les choses qu'on lui raconte directement. Si vous avez quelque chose à lui dire, que vous prenez un air sérieux, grave, ou que vous vous mettez à pleurer, elle n'ira pas le répéter. Elle a un minimum d'éducation : elle marque la différence entre rumeurs et ragots à colporter et ce qu'on confie en tant qu'amie. Et d'ailleurs, si ça ne va pas, vous pouvez toujours venir vous confier à elle. Ça ne la dérange pas, au contraire. C'est quelqu'un de joyeux, d'exhubérant, pour qui remonter le moral des gens n'est pas un problème. Sa joie est plutôt contagieuse.
Ce qu'il faut aussi savoir, c'est qu'Astrid est très curieuse. Cela vient sans doute de sa passion pour les potins. Quand on veut travailler dans le milieu de la mode, il faut savoir avoir du flair, toujours être au courant. La miss, derrière ses airs de fille sympa, enregistrera toujours ce que vous direz. Pas pour le retourner contre vous, non, ça ne lui servirait à rien, et ce n'est pas son truc, mais pour être au courant. Au courant de tout, branchée sur tous les fronts. Et elle adore ça ; c'est vraiment son truc, son dada.
Elle a aussi des côtés moins marrants dans sa personnalité. C'est quelqu'un de très ponctuel qui déteste attendre. Elle sera toujours à l'heure à ses rendez-vous, et tâchez d'en faire autant ! Car c'est l'une des choses qui la met le plus en pétard. Il ne faut pas faire attendre Mademoiselle Graffin. Elle déteste ça. Et là, si vous arrivez en retard, adieu la joie. Elle sera moins sympa, moins compréhensive, et encore plus curieuse. Votre retard n'est pardonnable que par quelques infos. Car elle, elle ne balance pas les gens, mais elle aime être au courant. C'est le métier qui le veut. Ah, et le métier veut aussi que tout soit parfait. Par conséquent, Astrid veut que tout soit parfait. Et avec elle, chaque détail compte. Très portée sur les vêtements, elle remarquera la plus petite des tâches sur votre chemisier, et ne se gênera pas pour le faire remarquer. Ce n'est peut-être pas polie, mais l'importance a le droit de transgresser quelques unes des règles de bonnes conduites. Enfin ça, c'est elle qui le dit.
Elle a peut-être l'air d'être une fille superficielle, avec son attention du détail, des vêtements, les ragots et la mode. Un univers de filles branchées sans rien dans le crâne. Mais Astrid n'est pas comme ça. Certes, les apparences comptent beaucoup. Mais si elle voit quelqu'un avec une tâche, elle le dira, mais ne pensera pas : « Mais quel crade celui-là, écoeurant. » Elle se demandera pourquoi. Pourquoi, d'où vient cette tâche. Y a t-il une raison particulière ? Une histoire ? Car elle est curieuse. Curieuse, et elle s'intéresse aux gens. Elle accorde de l'attention au paraître, mais être est tout aussi important, et elle base son jugement sur un équilibre savant des deux notions. Elle essaie d'aller vers les autres, de s'intéresser aux gens. Pour exister un peu. Pour se démarquer d'Alice la petite merveille, sa soeur aînée. Brillante, mais socialement tarte. Alors Astrid tente de s'illustrer là où une autre Graffin n'est pas passée avant elle. Un peu de contact humain, d'ouverture d'esprit et de compréhension. Voilà ce qu'elle a et ce que sa soeur n'a pas. Alors elle essaye de se démarquer. Mais ce n'est pas facile. Et parfois, ça lui pèse.
Opinion politique
I've put my fingers into my eyes
Le régime actuel ? Boarf, Astrid n'en pense pas grand chose. Les axés sont vénérés, tant mieux pour eux, mais ce n'est pas son cas, alors elle n'en a pas grand chose à faire. Elle ne fait pas partie de ceux qui leur vouent un culte, mais ils ont aidés le gouvernement, c'est quelque chose de notable, tout de même. Les désaxés... ce ne sont pas des gens clean, et on les présente souvent comme les vrais méchants de l'histoire. Mais il en faut toujours. Sans s'apitoyer sur leur sort, elle n'en a pas peur non. Il faut bien des extrêmes dans tout, surtout la société. Il y a les axés, les désaxés. Et au milieu, il y a elle. Enfin, elle et la populace. Elle est juste bien. Dans une position où on ne la surveille pas. Donc ça. Le régime actuel... comme on la laisse tranquille, elle ne cogite pas des masses et se laisse vivre. Elle est très bien dans sa position actuelle.
Histoire
Les vieux péchés ont de longues ombres
Astrid n'est pas la première fille de sa famille. C'est la seconde. À son plus grand malheur. La première s'appelle Alice Victoria Graffin. Les mêmes initiales que sa soeur. Ça commence bien. Alice, c'est le joyaux de la famille, une fille brillante. À trois ans, lorsqu'Astrid est née, elle n'avait pourtant rien d'exceptionnel. Mais ses parents l'adoraient déjà. Difficile d'être un bébé braillard quand il y a un petit ange blond dans la maison, non ? C'est ce qu'a vécu Astrid. Bien entendu, ses parents s'occuppaient bien d'elle, mais Astrid a vite compris qu'elle allait devoir en faire beaucoup pour se faire remarquer. Rien à espérer du côté des études ; l'école, ce n'était pas son truc, elle n'avait pas dix-neuf partout et dix millions d'options comme Alice, surnommée Alice la petite merveille. Alors elle essayait d'être gentille. Son comportement à la maison avait donc eu plusieurs étapes.
Au début, le favoritisme de ses parents envers sa soeur ne la dérangeait pas. D'un côté, elle avait sept ans et était facile à dompter. Elle écoutait encore bien ses parents et acceptait de jouer seule et en silence dans sa chambre. Puis elle eut dix ans, Alice treize. Elle en avait marre de rester dans sa chambre. Elle commençait à faire du bruit et à traîner des les pattes de sa soeur.
« Dis Alice, tu m'aiderais ? Y a un truc que je... »
« Laisse-moi Astrid. J'ai pas de temps pour toi. »Au moins, c'était clair et net. Alice n'avait pas de temps pour sa soeur, qui elle aurait bien aimé passer plus de temps avec sa grande soeur. Au début, elle l'excusait. Elle avait besoin de beaucoup travailler. Ses parents mettaient beaucoup de pression sur ses épaules. Elle n'avait pas à s'occuper de son attardée de soeur qui préférait papoter sur le style de tel ou tel personne après les cours, plutôt que de filer à la bibliothèque pour étudier et approfondir ses leçons. Astrid était le boulet, elle n'avait pas à ralentir les autres. Mais très vite, elle en eut marre. Ce fut progressif. Alice n'avait jamais de temps, et ses parents se fichaient bien d'elle. Elle n'avait rien de remarquable, et ne faisait la fierté de personne.
Un jour, Astrid décida d'aller traîner un peu dans les rues de la ville, toujours à le recherche de nouveaux concepts vestimentaires. Elle avait commencé à se dessiner ses vêtements. Sa mère avait rit, son père avait trouvé ça idiot. Mais bref, elle ne s'attardait plus sur leurs réactions. Elle traînait donc, avant de se décider à rentrer. Sauf qu'elle n'avait pas ses clefs. Donc, coincée devant le portail. Pas un problème, elle n'avait qu'à l'escalader, arriverait à la porte et sonnerait pour que sa soeur, qui était certainement rentrée, vienne lui ouvrir. Sauf que voilà, après un quart d'heure à sonner, personne. Cette débile d'Alice devait à tous les coups être en train de lire comme un rat de bibliothèque. Elle attendit donc deux heures. Deux longues heures avant que sa mère ne rentre, et n'ouvre avec sa clef. Et en montant dans sa chambre, Astrid avait aperçu quelqu'un penché sur cahier, tranquillement dans sa chambre. Alice.
« Tu te fous de moi ? »Pas de réponse.
« Depuis deux heures que j'attends en bas, ça t'aurait tuée de descendre pour m'ouvrir ? »Toujours aucune réponse de Miss Intelligence Suprême.
« ALICE ! Tu pourrais au moins répondre quand je te parle ! Oh ! »« La ferme Astrid. Retourne faire tes dessins idiots et laisse-moi bosser, ok ? »Toujours aussi clair. Le pire étant que sa mère, l'ayant entendu crier le prénom de sa divine soeur l'avait rapporté à son mari, mari qui s'était empressé de crier sur sa fille. Vive la famille, en gros. Voilà comment elle es devenue la fille autonome qu'elle est aujourd'hui. Elle sait très bien se préparer un repas. Faire les courses. Se déplacer toute seule. Elle cherche même actuellement un petit boulot pour couvrir ses frais, étant donné que l'argent de poche se trompe parfois de poche et atterrit chez la Majesté Alice. L'année dernière, elle a même passé pas mal de temps à s'entraîner à forcer une serrure. En cas d'extrême nécessité - cela va sans dire - ça peut toujours être utile. Rassurez-vous, elle ne vas pas entrer par effraction chez vous. En fait, elle veut juste pourvoir rentrer chez elle quand elle oublie ses clefs. Puisque personne ne veut lui ouvrir, elle s'ouvre toute seule.
Alice était présente dans la vie d'Astrid même si elle n'était pas là. Toutes les deux blondes aux yeux verts, Graffin, pas de doute, on reconnaissait les deux soeurs. Et les professeurs ayant eu Alice dans leur classe ne l'oubliait pas. Parfois même sans lui avoir jamais parlé, certains enseignants en avait entendu parlé. C'était dire si on se souvenait d'elle. Et inévitablement, à chaque rentrée, on lui posait cette belle question : « Graffin ? Mais tu es la soeur d'Alice ? ». Certains lui avaient même demandé comment elle allait. Et même si elle avait les mêmes parents, leurs gênes n'étaient visiblement pas identiques. Alice s'était accaparée toute l'intelligence. Par conséquent, leurs notes n'étaient pas les mêmes. Et s'il existe une choses à ne jamais faire devant Astrid, c'est la comparer avec sa soeur. Peu importe qui vous êtes. C'est ainsi qu'elle s'est attirée des ennuis lors de son premier conseil de classe. Elle avait décidé de se présenter pour la première fois pour représenter les élèves, ça lui plaisait bien de jouer ce rôle. Sauf lorsqu'on en venait à parler de son cas.
« Astrid Graffin, maintenant. »
« Ah, la soeur d'Alice. Des notes correctes, mais peut sans doute mieux faire. Sa soeur avait... »La jeune blonde n'avait même pas laissé passer un mot de plus, et avait interrompu un membre de l'équipe pédagogique.
« Désolée ! Désolée de ne pas être une deuxième Alice ! Désolée de ne pas passer ma vie dans les études, et d'avoir des notes moins bonnes ! Mais je ne suis pas Alice, je ne serais jamais Alice et je ne veux pas l'être ! Moi je suis Astrid. Astrid. Rien de plus, rien de moins. Et je ne changerai jamais pour être ma soeur ! J'ai le droit d'exister moi aussi ! »Le principal tenta de dire quelque chose, mais essayez donc d'arrêter quelqu'un de bavard en colère ; pas possible, il vide son sac jusqu'au bout, maintenant qu'il est lancé.
« Oui, j'ai des moins bonnes notes. Oui, et alors ? Vous pouvez pas penser à moi comme moi, et non comme la soeur de quelqu'un ? J'en ai assez d'entendre toujours parler d'elle, tout ce que je fais n'a aucune importance. Quelqu'un est déjà passé avant moi ! Elle récolte tout, et me laisse derrière. Forcément, j'ai moins de talent. Mais arrêtez de me le rappeler. Je le sais, je le sais, alors arrêtez de me le répéter ! Merde, à la fin. »Évidemment, cette petite scène n'avait plu à aucun des adultes présents. Collée pour manque de respect, elle n'avait pas été destituée de son poste de déléguée, mais se faisait passer pour malade aux réunions, envoyant sa suppléante à sa place. Elle ne s'était jamais représentée. La seule chose qu'elle avait entendu en rentrant chez elle ? « Alice n'a jamais été collée, elle. » Allez, ras le bol.
Depuis qu'elle est née, elle habite dans une petite maison à étage du Quartier des Neiges, avec sa charmante petite famille. Sa soeur Alice, qu'on présente toujours avant tout le monde. Sa mère, Alexi et son père, Alexander. Ouais, à croire que les prénoms qui commencent en a sont à la mode. Astrid n'aime pas des masses son chez elle. Plus à cause des personnes qu'elle risque d'y croiser, bien que son père rentre tard chaque soir, et que sa soeur ne sorte de sa chambre (y a t-il seulement un lit ou bien elle dort sur des bouquins ?) que pour s'alimenter si nécessaire. Quand elle est chez elle, Astrid reste dans sa chambre. Mais sinon, depuis ses onze ans, elle éprouve le besoin de sortir. DE L'AIR. Elle a donc développé un grand sens de l'écoute et de l'observation. Toujours ouverte à sortir flâner avec des gens, vous pourrez toujours lui demander de vous accompagner quelque part. Ou quand elle est seule, elle s'installe quelque part et regarde. Regarde les gens en tentant de deviner qui ils sont grâce simplement à leurs vêtements. C'est quelqu'un de très observateur et attentif. Si elle ne peut surpasser sa soeur en études (impossible), en musique (c'et la réincarnation de Mozart cette fille), ou en snobisme (de l'ordre aussi de l'impossible), au fil du temps, elle a développé des talents, enfin si on peut appeler ça comme ça : être à l'écoute (surtout en ce qui concerne les problèmes de mode ou de fraterie), observer, dessiner, se montrer sympathique avec les gens. En soirée, entre parler de la théorie de la relativité et une bonne blague sur le pantalon troué de la voisine, les gens font vite le choix.
Mis à part qu'elle ne s'est jamais entendue avec sa soeur et ses parents, c'est une fille normale.
Derrière l'écran
Perfection is my direction
| crédit ♦ bardadoll.
puf ♦ Weltinette. découverte ♦ Pub sur Morsmordre. avis ♦ Pour l'instant j'ai pas trop d'avis en fait. Juste que j'aime, c'est pour ça que je me suis inscrite. autre ♦ C'est moi où j'ai réussi à planter un code qui était offert sur un plateau d'argent ? XD
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