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 PASIPHAE ★ t'as beau être monté comme un taureau, il a un truc que t'as pas, un cerveau.

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PASIPHAE ★ t'as beau être monté comme un taureau, il a un truc que t'as pas, un cerveau. Empty
MessageSujet: PASIPHAE ★ t'as beau être monté comme un taureau, il a un truc que t'as pas, un cerveau.   PASIPHAE ★ t'as beau être monté comme un taureau, il a un truc que t'as pas, un cerveau. Icon_minitimeSam 5 Nov 2011 - 18:56

Pasiphaé Roxanne Carson
La différence entre un jeune con et un vieux con réside dans le temps qu'il leur reste à être con.

crédit ♦ © British Cookie.
avatar ♦ Avril Lavigne.
codeJe te troll.


nom ♦ Carson.
prénom(s) ♦ Pasiphaé, Roxanne. Pas la peine de lui faire la blague que "hé Pasiphaé, tu kiffes ça les taureaux ?", ça la fait pas rire.
surnom(s) ♦ Pasi par certains amis.
date de naissance ♦ 2 juillet 1992. 18 ans.
métier ♦ Elle est illustratrice, photographe et web-designer free-lance et travaille quelques fois pour le compte de l'agence de publicité indépendante Pandora.
statut ♦ Populace.


style vestimentaire ♦ Metalleuse, gothique, punk ... Elle met ce qu'elle lui plait, mais ça reste pour ainsi dire tout le temps dans le milieu metal.
taille ♦ Un mètre cinquante-cinq.
corpulence ♦ Toute petite toute mignonne ! Mais surtout légèrement musclée, maigre et rehaussé par les semelles compensées ou les talons de ses chaussures bizarres et trop funs. Elle préfère effectivement porter des escarpins Iron Fist que des chaussures Ben Simon que tout le monde met.
yeux ♦ Bleus gris.
cheveux ♦ Blonds, raides et longs.

ce qu'il aime ♦ Le dessin, la musique, les tatouages, sa ratte chérie d'amour.
ce qu'il n'aime pas ♦ Les machos, qu'on l'emmerde, les blagues stupides sur son prénom.
orientation sexuelle ♦ Bi.
tolérance ♦ Fermement féministe.
tics ♦ Elle plisse les yeux, se mordille la lèvre et fait craquer ses longs doigts d'ex-pianiste.

couleur préférée ♦ Elle en a pas vraiment en fait.
animal préféré ♦ Le rat.
sport ♦ Aucun.
musique ♦ Le grunge, le heavy metal, le black, tout tant que c'est rock'n'roll.
films ♦ V pour Vendetta, Batman the Dark Knight, Orange Mécanique, les Tim Burton.
livres ♦ La BD V pour Vendetta, Germinal, les nouvelles d'Edgar Poe.
dans sa poche ♦ Ses clés.
scolarité ♦ Bah en fait, sa scolarité, elle l'a pas finie, parce qu'elle s'est fait virer de son collège avant.


truc en plus ? ♦ Elle a une ratte qu'elle a appelée Mnémosyne.

Caractère
Tout oiseau aime à s'entendre chanter

Alors, quel genre de diable est votre personnage ? Décrivez nous ici son caractère. On vous demande un paragraphe de quelques lignes minimum, pas un simple suite d'adjectifs. Développez, exprimez vous, c'est l'occasion idéale de dire tout ce que vous voulez sur votre personnage.

Opinion politique
I've put my fingers into my eyes

Pasiphaé, elle n'aime personne.
Elle n'aime pas les axés qui sont trop vaniteux, elle n'aime pas les désaxés qui chialent sur leur sort sans rien essayer de changer à leur vie, mais par contre elle adore ceux qui militent pour leurs opinions. La société actuelle, elle la trouve nulle, c'est stupide à ses yeux de faire un clivage de la sorte les populations. Mais de toute façon elle trouve tout nul elle.

Histoire
Les vieux péchés ont de longues ombres

« Aaah .. Aaah .. ATCHOUUUM ! »
« T’es malade Lidya ? »
« Non, je suis allergique. »
« Ooh … T’es allergique à quoi ma belle ? »
« Allergique aux putes, d’ailleurs tu peux dégager s’il te plaît ? »


Lydia Carson avait seulement dix-neuf ans lorsque, par un tragique coup du sort, elle tomba enceinte. Se raccrochant comme une perdue au père de son enfant, un de ses professeurs à la faculté de philosophie, âgé d’une bonne trentaine d’années, elle espéra de toutes ses forces qu’il la prendrait sous son aile, l’aiderait pour l’avortement, serait là pour elle. Scénario courant mais qui n’aurait pas été dramatique si, en plus de mal gérer sa baise, le professeur n’était pas un coureur de jupons aussi frivole que peu concerné par la grossesse de son élève, repoussant toujours au lendemain le rendez-vous avec un chirurgien pour faire avorter son amante. Tant et si bien qu’elle finit par en parler, honteuse, à ses parents, qui eurent le réflexe stupide de la claquer, de la punir de sortie et de la dissimuler comme une pestiférée. Enfermée dans sa chambre, sans même pouvoir rejoindre l’amphithéâtre de la fac pour ses cours, la jeune femme vit les jours passer, puis les semaines, hurlant de toutes ses forces lorsqu’elle réalisa qu’elle avait dépassé les trois mois de grossesse – le point de non-retour. Les mois passèrent, les feuilles s’envolèrent de l’éphéméride accroché dans la chambre de la jeune femme, et naquit finalement l’enfant. Emue par le silence doux du bébé lorsqu’on le lui remit dans les bras, Lydia sentit toute sa rancœur s’envoler. De grands yeux bleus gris braqués sur elle, quelques cheveux blonds, un visage adorable suffirent à la faire accepter ce bébé qui, elle le disait encore la veille, avait fait de sa vie le pire des enfers. Retrouvant sa place à l’amphithéâtre quelques mois après, tandis que sa mère, femme au foyer, gardait la petite que Lydia avait baptisé Pasiphaé, cette dernière retrouva son tendre amour, qu’elle trouva anormalement distant. Inquiète, elle tenta de le questionner – rien n’y fit. Ce ne fut que lorsqu’elle réalisa que, les jours où elles avaient cours avec lui, sa meilleure amie Maud portait jupes courtes, collants en résille et décolletés plongeant alors que les autres jours, elle s’habillait de jeans et de tee-shirts colorés, qu’elle comprit que le problème était beaucoup plus profond que ce qu’elle ne pensait. Suivit une sublime scène de ménage tandis que Lydia hurlait toute sa haine au père de son enfant, le détestant de l’avoir trompée avec Maud – et de toujours la tromper avec d’ailleurs – et le début de l’allergie aux putes de la jeune mère. Son ancienne amie, de son côté, feignait de compatir, s’inquiétant dès qu’elle éternuait et proposant sans cesse son aide, jusqu’à ce que Lydia l’arrête d’un ton sec. C’était décidé, cette pétasse sortirait définitivement de sa vie, le père de Pasiphaé aussi, et ce ne serait plus que pour sa fille que désormais elle travaillerait.


« Maman, dis moi, pourquoi je n’ai pas de père ? »
« Parce que ton géniteur est un salopard mal baisé qui drague tout ce qui bouge, qui a un vagin et des nibards. »
« Une paire de seins sur un gros cul quoi, Maud ? »
« T’as tout compris. »


Elevant sa fille avec amour tout en lui transmettant sa morgue et son détachement moqueur, Lydia fit de Pasiphaé son reflet, sans réaliser toutefois que la part de ténèbres qui régnait en elle était nettement plus étendue que la sienne. L’emmenant des fois avec elle en cours, elle lui insuffla sa haine envers Maud et son infidèle de père, sifflant entre ses dents que son ex-meilleure amie n’était que la pire des salopes et que le géniteur des enfants ne sautait de jeune fille que par amour de la chair fraiche. Disant les choses telles qu’elles l’étaient à sa fille, sans chercher à lui faire croire en un père noël invraisemblable ou en une possible religion, elle fit d'elle un enfant instruit, intelligent et surtout incroyablement mature. Ayant vite compris que l’absence de son père n’était pas normale,elle avait demandé tranquillement à sa mère le pourquoi du comment, qui lui avait raconté sur le même ton l’infidélité du professeur. Parallèlement, la gamine dut aller à l’école, commençant dès la primaire une scolarité tumultueuse du fait de la grande gueule qu’elle avait hérité d’une mère fière d’elle qui soutenait perpétuellement sa fille dans ses engueulades avec les profs, par simple défi. Commencèrent très vite les punitions qui, malgré un niveau scolaire excellent, rabaissaient sa moyenne et ses carnets, et dont la mère se contrefichait fortement, parce que la grande gueule de sa fille la réjouissait. Développant un lien complice entre mère et fille, Lydia n’hésita pas à aller dire sa façon de penser à quelques emmerdeurs qui faisaient chier sa fille, se faisant allègrement passer pour sa grande sœur au vu de son jeune âge et de sa petite taille, dont Pasiphaé hériterait plus tard. Inversement, lorsque Lydia amenait sa fille à la faculté et que le père l’abordait doucereusement, attiré par la bouille d’ange et les yeux sublimes de la gamine que sa mère habillait déjà de façon rock, Pasiphaé se fit un plaisir de le repousser avec un ton glacial et un regard iceberg qui le mit directement mal à l’aise. Bon sang mais comment une gamine d’à peine une dizaine d’année pouvait avoir une telle morgue ?


« PASIPHAEEE ! »
« MAMAAAAAN ! LÂCHEZ MOI IMMEDIATEMENT BANDE DE SALES CONNARDS ! VOUS N’AVEZ PAS LE DROIT ! »
« Nous avons tous les droits, jeune fille. »
« LÂCHEZ MOIIIIIIII ! »


Et forcément l’apocalypse arriva. Lydia tomba malade, ce fut donc à Pasiphaé de faire tout à la maison, la lessive, la vaisselle, le ménage, tout, absolument tout, ce qu’elle effectuait sans se plaindre puisqu’elle avait bien conscience que sa mère n’en était pas dans l’état. Appelant même le médecin à l’insu de sa mère pour qu’il vienne consulter à domicile, celui-ci fixa un rendez-vous dans la semaine, arriva, jeta un regard perplexe à la maison mal entretenue par une fillette de dix ans, qui devait alterner ses longues heures de piano au conservatoire, sa scolarité, les courses et toutes les tâches ménagères, et qui, de ce fait, avait perdu du poids, ne prenait plus aucun soin d’elle et paraissait presque aussi décharnée que sa mère. Au collège, les professeurs de la petite firent le même constat, remarquant que la gamine avait énormément changé entre peu de temps et qu’elle semblait porter tout le malheur du monde sur ses frêles épaules. Dans le vestiaire, la prof d’EPS avait même observé la marque des sacs de courses sur ses épaules et quelques hématomes dus au cognement des provisions sur ses flancs, mais qu’elle prit pour la preuve que Lydia battait son enfant. Le médecin ayant réussi à prendre contact avec la professeure principale de Pasiphaé, ils décidèrent de concert que la petite n’était pas en sûreté chez une mère trop jeune pour l’élever correctement et souffrant du foie, donc étant sûrement alcoolique, et choisirent d’alerter les autorités sociales, qui vinrent un beau jour frapper au domicile Carson et prendre la gamine sans préavis. Gamine qui hurlait, se débattait, s’accrochait à sa mère en insultant, mais qui dû lâcher prise du fait de sa petite taille et de sa carence en énergie qui emmenait un manque de force.



Derrière l'écran
Perfection is my direction

crédit ♦ Madame-E.

puf ♦ Mocerino.
découverte ♦ Admine mes enfants.
avis ♦ L'administration est corrompue. /o/
autre ♦ Les gratons baveurs vaincront la populace.
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